Saturday, September 10, 2011

PDF gratuit Mémoires de Hongrie

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Mémoires de Hongrie

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Mémoires de Hongrie

Détails sur le produit

Poche: 448 pages

Editeur : Le Livre de Poche (20 septembre 2006)

Collection : Littérature & Documents

Langue : Français

ISBN-10: 2253082864

ISBN-13: 978-2253082866

Dimensions du produit:

10,9 x 2,8 x 17,8 cm

Moyenne des commentaires client :

4.1 étoiles sur 5

7 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

29.009 en Livres anglais et étrangers (Voir les 100 premiers en Livres anglais et étrangers)

Alors qu’ailleurs (per exemple, dans les « Etrangers ») on peut avoir des doutes (roman pur ? récit autobiographique ?), le doute n’est plus ici de mise. Les « Mémoires de Hongrie » sont bel et bien des mémoires autobiographiques. Il s’agit d’une description des années 1944 à 1948. Cruciales pour le pays des Magyars. Libération (il serait, malgré tout, scandaleux de mettre ce mot entre guillemets comme certains le font) par l’Armée rouge, débuts chaotiques de reconstruction, sentiment (vrai) d’être un pays vaincu aux côtés de l’Allemagne hitlérienne, mainmise progressive sur la vie politique, économique et intellectuelle des communistes et de leur chef emblématique (le Staline hongrois …), Mátyás Rákosi. Márai n’y va par quatre chemins. Il était antinazi. Il est anticommuniste. Il se réclame d’un humanisme bourgeois (ou d’une bourgeoisie humaniste, les deux assez fumeux, surtout en Hongrie) qu’il ne confond pas du tout avec le mercantilisme capitaliste de l’Occident. Anticapitaliste, il est également athée. Beaucoup trop de anti donc pour un seul homme. Personne ne l’importune dans cette Hongrie soviétisée en trois ans (alors même que la Russie, écrit-il, en a mis trente au bas mot). Il décide quand même de quitter son pays en 1948 pour ne plus jamais y retourner. Suisse, Italie, Allemagne, Etats-Unis (il sera naturalisé américain), encore Italie et encore Etats-Unis. Son seul lien avec sa terre natale (föld, en hongrois) sera la langue hongroise. Et la littérature qui s’est développée dans cette langue étrange et étrangère au milieu de l’Europe indo-européenne. Il est partie du « föld » sans fausse nostalgie, sans déchirure intense mais angoissé et les derniers mots du livre, je les trouve sublimes : « Je venais de comprendre que j’étais libre. Je fus saisi de peur ». Maintenant, tout, dans ces « Mémoires », qui ont vu le jour en 1972, n’est pas, pour ainsi dire, à la hauteur des grands romans de Márai. Les multiples digressions, l’anticommunisme virulent (ce n’est pas pour rien que l’on gagne sa vie à Radio Free Europe) peuvent, à l’occasion, embarrasser un peu. C’est que Márai n’est pas un politologue ni un économiste ni un historien et ses - nombreux - développements politico-économico-historiques ne sont pas forcément très convaincants. Le livre aurait pu avoir son intérêt à sa sortie en 1972 (mais personne ne connaissait plus Márai à cette époque) pour convaincre les uns des méfaits du communisme et les autres de la nécessité de lutter contre les agents américains. Mais tout cela appartient au passé. Ce qui reste, encore et toujours, est la plume de Márai, ironique, suggestive, intime, digne, qui rappelle que Márai est un très grand écrivain. Bref, ce n’est pas le meilleur livre de Márai mais c’est quand même du Márai. Ses inconditionnels ne pourront s’en passer et donc, encore une fois, merci à Albin Michel et aux traducteurs de vouloir (j’espère ne pas me tromper) nous offrir en français l’oeuvre de Márai dans son intégralité, dans ses sommets et dans ses vallées.

Dans ces mémoires mordantes, Sándor Marai analyse d’une manière lucide l’histoire de la ‘libération’ et des premières années après la Deuxième Guerre Mondiale de sa patrie, la Hongrie. Il y exprime aussi clairement sa vision sur l’espèce humaine, le rôle de l’intellectuel, le communisme réel, la religion et l’histoire en général.La Hongrie, l’URSS et le régime communiste, l’intellectuelAprès la guerre, l’URSS a laissé son pays satellite, la Hongrie, exsangue : ‘semblable à un homme amputé de ses jambes, la Hongrie se voyait dépossédée, au titre de réparations de guerre, des produits de son industrie lourde’. De plus, le régime ‘communiste’ soviétique, implanté dans tous ses pays satellites, était basé sur l’étatisation de l’homme et de son esprit et sur des tortures institutionnalisées: atteintes à la vie privée et aux droits naturels de l’homme. En fait, la population hongroise devenait l’esclave de l’empire colonial soviétique.Dans ce régime totalitaire fondé sur la violence, le travailleur intellectuel se voyait attribuer un rôle singulier: par sa simple présence il consolidait le pouvoir en place. Comme l’a dit le poète hongrois M. Babits: ‘parmi les criminels on est complice quand on reste muet’.L’espèce humaine, l’humanisme, la religion, l’histoire (la paysannerie)L’auteur constate que pour l’espèce humaine, ‘la cruauté constitue un phénomène intemporel’. En outre, ‘l’individu garde le silence sur ce qu’il est réellement et sur ce qu’il est seul à savoir’. Pour S. Marai, l’être humain est un ‘mammifère bipède engendré par un hasard aveugle et abandonné à lui-même. Dans un univers indifférent sinon hostile, il est le seul être vivant capable de s’orienter autrement qu’en se fiant à ses instincts’.Pour l’auteur, ‘l’humanisme est une conception selon laquelle l’individu humain est la mesure de toute chose. C’est une attitude de l’homme qui n’attend pas une réponse surnaturelle au problèmes de la mort et de la vie’.Quant à la religion, ses ‘fondateurs ont toujours voulu faire admettre à leurs fidèles que Dieu avait créé l’homme à son image sans leur avouer qu’en réalité c’est l’homme qui crée Dieu’.Il constate aussi d’une manière perspicace que l’histoire est un ‘procès millénaire dont l’enjeu était le sort des paysans sans terre, victimes d’une spoliation éhontée’.La douloureuse décision de quitter sa patrieL’auteur décide de quitter sa patrie ‘non seulement parce qu’on ne me permettait pas d’y écrire librement, mais surtout parce que je n’avais même pas le droit de me taire librement’.Quitter sa patrie voulait aussi et surtout dire ‘quitter sa langue’ dans laquelle il pouvait s’exprimer. En d’autres termes, pour lui, c’était un véritable désastre.Ce livre important contient des messages extrêmement durs pour les intellectuels d’aujourd’hui : ils sont complices des régimes en place, même quand ils restent muets!A lire par tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté.

Sandor Marai est l'un des plus grands écrivains hongrois . Son style est remarquable de finesse et de justesse dans les sentiments exprimés . Il s'agit d'une évocation du siège de Budapest à la fin de la seconde guerre mondiale , de la destruction de la ville aimée , du début du régime communiste , de l'attitude des intellectuels hongrois , puis de l'émigration ... Sandor Marai a été anti nazi pendant le Régime de l'Amiral Horty puis anticommuniste . Il se revendique comme un bourgeois cultivé , attaché à la Hongrie , qui a perdu les deux tiers de son territoire après le traité de Trianon . il décrit avec émotion le sentiment du peuple hongrois , qui se sent seul et isolé en Europe , avec sa langue incompréhensible pour les autres , langue qu'il faut défendre , ce qu'il fait à merveille .

Très beau livre sur la Hongrie de 1939 à 1945 ;Marai quittera son pays en 1948 et ses mémoires écrites vingt ans plus tard sont empreintes de nostalgie mais aussi d'une grande lucidité sur les deux occupations successives,allemande et soviétique, de ce tout petit pays dont la langue ne ressemble à aucune autre,explique Marai,d'où l'extrême difficulté pour un écrivain de choisir l'exil.Imre Kertész restera en Hongrie sans pouvoir publier et Marai choisira le déracinement plutôt que 'd'écrire pour son tiroir',tous deux victimes de la censure soviétique,soft dans l'immédiat après-guerre mais impitoyable par la suite.Humour,réalisme,tendresse et fine analyse des rapports entre société hongroise et occupants.

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